Pratique consistant à inverser les rôles traditionnels du mentorat, puisque ce sont les jeunes collaborateurs ou les moins expérimentés qui partagent alors leurs connaissances, leurs compétences technologiques et idées avec leurs collègues plus expérimentés. Une démarque qui favorise donc un échange intergénérationnel.
« Le reverse mentoring a pris son essor depuis la pandémie du Covid-19. L’essor du télétravail, les nouvelles aspirations des salariés ou encore l’importance du bien-être des collaborateurs conduisent à explorer de nouvelles techniques collaboratives. Le mentorat inversé permet de répondre aux problématiques d’intégration, d’inclusion ou de clivage générationnel », estime l’éditeur de logiciels de management et de gestion des ressources humaines toulousain, Eurécia.