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Un trop gros développement dans ce secteur confidentiel, peut amener, dans le temps, à une chute vertigineuse, si la demande décroit subitement. Mettant tout le monde sur le carreau et l’entreprise en redressement, acter sa disparition et pire : la perte des savoirs faire !

Rester à l’échelle semi industrielle, pour une entreprise de ce type, paraît plus judicieux, vaut mieux offrir du travail en permanence, sur de longues années, que produire en masse et avoir 6 mois de disette, voire plus.

C’est pas la première fois qu’on verrait des entreprises (on en a perdu beaucoup en un siècle, beaucoup trop) magnifiques, s’effondrer, parce qu’elles veulent grossir pour capter tous les contrats, quitte à faire ça trop rapidement.

Ensuite, comme souvent dans les articles de presse et sur les site Web des entreprises, on ne parle strictement jamais, de la capacité de ces entreprises, à former sur le tas, ou dans une petite école interne, c’est un réel problème ! Beaucoup cherchent, mais n’anticipe pas du tout la formation et le temps d’apprentissage, ils ne misent pas sur la durée, aucune vision d’avenir. Pourtant, quand on est réellement dans le besoin, on ne fait pas la fine bouche, pour remplir ses objectifs. Le gain qu’apporte un employé formé sur le tas, ou en cours internes, c’est une capacité à s’acculturer à la philosophie de l’entreprise, un double avantage donc !

Mais ça, le patronat, les RH, même les syndicats, ne le comprennent toujours pas ! Pourtant, ça se faisait encore jusque dans les années 2000, grâce aux chef d’entreprise ou directeurs, type « vieille école », puisque je l’ai connu ! Aujourd’hui, les nouvelles générations, veulent le beurre et l’argent du beurre, le candidat parfait, ça n’existe pas, quand on est à la ramasse.

À ceux qui lisent, revoyez vos copies, ou alors, vous n’êtes pas fait pour diriger.